Schmetterling, 1995 ), p. 211 . (Translated by NL)
[4] Jürgen Strube, chair of the BASF management board, in 1995 also expressed his regrets about the “use of forced laborers” while insisting however that his company was “not the legal successor of I.G. Farben” (as quoted in Coordination gegen Bayer-Gefahren, ed.:
IG Farben, p. 215).
www.wollheim-memorial.deSchmetterling 1995, S. 211.
[4] Jürgen Strube, Vorstandsvorsitzender der BASF, äußerte ebenfalls 1995 sein Bedauern über den „Einsatz von Zwangsarbeitern“ und bestand gleichzeitig darauf, dass sein Unternehmen „nicht Rechtsnachfolger der IG Farben“ sei (zit. n. Coordination gegen Bayer-Gefahren (Hg.):
IG Farben, S. 215).
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